Parfois, on a l’impression qu’il faut que tout soit parfait pour vendre.
Une offre claire, une niche bien définie, une suite logique entre chaque produit… un peu comme si on devait tracer avec précision le chemin que nos client·es vont suivre dans notre univers. Et si ce n’est pas parfaitement aligné, si tout ne « fitte » pas comme dans les guides marketing, on se dit qu’on fait fausse route.
Mais si on arrêtait de vouloir tout contrôler ? Et si on laissait pousser notre business comme un jardin vivant, organique, avec des surprises et des chemins inattendus ?
C’est exactement ce que propose Alexe Martel avec sa métaphore du jardin anglais. Une façon beaucoup plus fluide, joyeuse et alignée de penser à son écosystème d’offres.
Dans cet épisode, je t’emmène à la découverte de cette vision rafraîchissante, qui remet l’expérimentation, la curiosité et le plaisir au cœur de ta stratégie.
Quand tu découvres Alexe Martel, c’est souvent par un petit produit, une infolettre bien ficelée ou une ressource qui tombe pile au bon moment. Et rapidement, tu réalises que derrière cette générosité-là, il y a une façon de penser au marketing qui sort des sentiers battus.
Alexe s’est d’abord fait connaître pour son expertise en rédaction persuasive — avec des défis, des formations, un livre sur la tarification à la valeur (Ajoute un zéro) — puis iel s’est tourné·e très tôt vers l’intelligence artificielle. Alexe a d’ailleurs lancé sa première formation sur le sujet avant même l’arrivée de ChatGPT. Depuis, Alexe crée des mini-formations, des ateliers, des GPT personnalisés, des ressources pour apprendre et tester sans se prendre trop au sérieux.
Mais ce qui rend son approche vraiment différente, c’est qu’Alexe ne repose pas sur une niche figée. Alexe voit la niche comme un tremplin, pas une prison. Iel a commencé avec un angle très clair (le copywriting), pour bâtir sa crédibilité rapidement. Mais avec le temps, son écosystème s’est élargi. Aujourd’hui, chaque produit a son intention, sa cible, son utilité. Et tout ça, ça vit ensemble, dans une structure plus libre, plus organique.
C’est une vision rafraîchissante, qui donne la permission d’explorer et de se réinventer, mais sans se perdre.
Tu as peut-être déjà entendu qu’un bon écosystème d’offres devait être stratégique, linéaire, parfaitement aligné. Un·e client·e entre par un outil gratuit, puis un petit produit et ensuite une offre ou un suivi haut de gamme.
Alexe, de son côté, propose une toute autre métaphore : celle du jardin anglais.
Plutôt que de tout contrôler, plutôt que de bâtir une structure rigide, iel imagine son entreprise comme un jardin foisonnant, sinueux, vivant. Un endroit où les gens peuvent entrer par différents sentiers, découvrir des coins inattendus et s’arrêter à ce qui les attire sans obligation de tout faire dans un ordre précis.
C’est l’opposé du jardin français, bien symétrique et soigneusement taillé. Ici, il y a des arbres solides (les offres principales), des fleurs qui poussent un peu par surprise (des ateliers lancés sur un coup de tête), et des coins plus touffus qui se dévoilent seulement si on prend le temps d’y aller.
Et surtout : c’est beau. C’est vivant. Et c’est aligné avec la façon dont Alexe fonctionne, et dont plusieurs d’entre nous fonctionnent aussi.
Tu n’as pas à planifier chaque étape de ton parcours client à l’avance pour que ça fonctionne. Tu peux créer une offre, voir si elle résonne, puis décider si tu veux l’enrichir, la regrouper, la relancer. Tu peux laisser de la place à l’intuition, à l’expérimentation, aux surprises.
Et parfois, c’est justement dans ce joyeux désordre que les idées les plus puissantes prennent racine. 😉
Il y a cette idée tenace qu’un produit doit être complet, structuré, validé et prêt à cocher toutes les cases avant même d’exister. Et ça bloque bien du monde. On attend d’avoir le bon angle, la bonne plateforme, la version parfaite. Résultat ? On fige. Ou alors, on s’épuise à bâtir un monstre qui nous coûte plus qu’il ne rapporte.
Alexe propose un tout autre rythme.
Pour Alexe, un petit produit, ça peut être un atelier improvisé, un gabarit utile, une capsule rapide sur une compétence bien précise. L’objectif, ce n’est pas nécessairement de créer un chef-d’œuvre pédagogique à 4000 $ avec 95 leçons. C’est de répondre à un besoin réel, de façon claire, simple, et actionnable. Et surtout, de se laisser la liberté de le faire évoluer au fil du temps.
Un exemple ? Le produit Lance enfin ton infolettre. À la base, c’était juste un atelier ponctuel, donné un peu sur un coin de table, pour aider les gens à passer à l’action. Devant l’enthousiasme, Alexe l’a enrichi, a ajouté des outils, puis l’a transformé en version live avec Rosalie Côté. Aujourd’hui, c’est un petit produit qui continue de se vendre parce qu’il est utile, direct, sans fla-fla.
Créer petit, ça ne veut pas dire qu’on crée quelque chose de moins bon. C’est créer plus vite, tester plus souvent, apprendre en chemin. Et ça te permet aussi d’éviter de mettre toute ton énergie dans un seul gros lancement dont tu ignores encore l’impact.
Tu veux un atelier sur un sujet précis ? Tu le proposes. Tu vois que ça résonne ? Tu l’étoffes. Tu veux récompenser les premiers acheteurs·euses ? Tu leur offres les mises à jour. Ce mode de création itératif, c’est une façon douce et stratégique de bâtir ton écosystème sans te brûler.
Pas besoin que ce soit parfait pour que ce soit puissant.
Tu veux vendre, mais tu n’as pas envie de devenir celui ou celle qui parle toujours de ses produits. Tu n’as pas envie d’étouffer ton audience. Pas envie non plus de t’imposer un gros lancement toutes les six semaines. Je te comprends. Alexe aussi.
Sa façon de vendre est à la fois simple, assumée, et profondément respectueuse.
Alexe utilise plusieurs « portes d’entrée » pour ses offres, notamment l’un des ces aimants à client préférés : 10 mini trucs de persuasion . Chaque séquence mène naturellement à des produits cohérents, sans pression.
Mais surtout, Alexe est transparent·e dès le départ. Quand tu t’inscris à un de ses contenus gratuits, c’est clairement indiqué que tu vas recevoir des courriels contenant des offres. Pas de piège, pas de flou. Tu sais à quoi t’attendre.
Et tu sais quoi ? Ça fonctionne. Parce que cette honnêteté crée un climat de confiance. Et les gens aiment qu’on leur propose des choses utiles, bien pensées, au bon moment.
Des fois, c’est juste un lien glissé dans un paragraphe ou un courriel de vente plus structuré. Et d’autres fois, c’est un petit rappel en PS. Il n’y a pas une seule bonne manière. L’important, c’est que la vente reste fluide, naturelle, sans lourdeur.
Alexe continue de vendre ses produits des mois — voire des années — après leur création. Même sans les mettre de l’avant. Parce qu’ils sont utiles. Parce qu’ils circulent. Parce qu’ils vivent.
C’est la preuve que tu peux vendre en continu, tout en respectant ton énergie et celle de ton audience.
Le Cabinet des curiosités, c’est une gigantesque galerie de 124 petits produits numériques conçus par des solopreneur·es, des créateur·ices, des professionnel·les de tous horizons. On y retrouve autant des templates que des ressources plus intuitives ou créatives (oui, même en lien avec le cycle menstruel !). L’idée, c’est d’offrir un buffet de possibilités, où chacun·e peut grignoter sur ce qui lui parle vraiment.
Et contrairement aux bundles ultra formatés où on t’impose un chemin bien précis, ici, tu as la liberté de faire le tri. Tu as deux mois pour choisir les produits qui t’intéressent, puis un an minimum pour les explorer à ton rythme.
Mais ce qui rend ce projet vraiment spécial, c’est ce qu’on ne voit pas de l’extérieur.
Derrière le Cabinet, il y a une collaboration entre Alexe et Charles de l’Agence Antilope, chacun dans sa zone de génie. Alexe gère le contenu, l’expérience, la vision d’ensemble. Charles s’occupe de la structure, des finances, de la logistique. Ce duo-là permet à un projet d’envergure de rester fluide, solide et profondément humain.
Et ce n’est pas tout. L’effet collatéral le plus précieux du Cabinet, c’est ce que ça crée entre les participant·es. Des liens, des échanges, des co-créations. Un espace où des personnes avec de petites audiences peuvent connecter avec des profils plus établis, partager leur expertise, gagner en visibilité et en confiance.
En coulisses, ça vibre. Ça collabore. Ça partage des visuels, des outils, des conseils. Ça devient un écosystème en soi — encore un jardin qui pousse dans toutes les directions.
C’est l’incarnation parfaite de ce que peut devenir une entreprise quand on accepte de faire les choses à sa manière et qu’on ose bâtir des projets plus grands que soi.
Juste avant le lancement officiel du Cabinet, il y a un petit bijou de contenu qui mérite d’être découvert : la Galerie des raccourcis.
Le concept est simple (et franchement brillant) : une série de mini-conférences, d’environ 10 minutes, créées en duo ou en trio par les participant·es du Cabinet. Pas de blabla inutile. Pas de longues intros. Que du concret, bien pensé, qui va droit au but.
Chaque mini-conférence est accompagnée d’un visuel ou d’un support de synthèse. C’est pensé pour que tu puisses les consommer facilement, sans t’épuiser, même si tu as un TDAH ou un horaire chargé (ou les deux). Tu peux écouter une capsule pendant ton café du matin, en marchant, ou entre deux suivis.
C’est un peu comme un sac de chips rempli d’idées croustillantes. Tu piges dedans, tu fais des découvertes, tu t’inspires, et tu repars avec des trucs que tu peux appliquer tout de suite.
Et en bonus : ça te permet de découvrir les créateur·ices derrière les produits du Cabinet. Tu peux voir leur style, entendre leur voix et sentir leur énergie avant de plonger dans leurs ressources. C’est une façon douce (et efficace) de t’orienter dans l’offre massive du bundle.
Pas besoin de tout écouter. Pas besoin de tout choisir. Tu avances à ton rythme, selon ce qui t’appelle.
Comme dans un jardin anglais.
Tu n’as pas besoin d’avoir tout prévu d’avance pour bâtir quelque chose de solide.
Tu peux créer des produits simples, utiles, imparfaits, qui répondent à un besoin réel et les ajuster avec le temps. Tu peux vendre souvent, sans être envahissant·e. Tu peux sortir du moule, suivre ton intuition, tester, itérer, et construire un écosystème qui te ressemble.
Comme Alexe le montre si bien, ton entreprise peut être un jardin anglais. Un espace vivant, libre, joyeux, où les idées poussent parfois là où on ne les attendait pas.
Et si tu veux voir ce que ça donne concrètement, va jeter un œil à la Galerie des raccourcis. C’est la porte d’entrée idéale pour découvrir le Cabinet des curiosités et plonger dans un univers riche, créatif, décomplexé.
Tous les détails sont ici (sauvegarde cette page parce qu’elle va évoluer au fur et à mesure) !
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